La bio éthique ou l’éthique de la vie

Pour entrer dans le débat de la grande consultation nationale sur la bio éthique, les chrétiens s’interrogent sur leurs références de foi.

Les nouvelles avancées permettent-elles véritablement une nouvelle maîtrise de l’homme sur lui-même ? Ne sont-elles pas aussi révélatrices de nos fragilités? Discerner le sens à donner à ces avancées scientifiques demande alors un double regard : un regard sur ce que notre foi peut apporter à la bioéthique et tout autant un regard sur ce que les progrès scientifiques sont susceptibles d’apporter à notre intelligence de la foi. A partir des différentes étapes de nos vies, le cours propose un parcours pour mettre en évidence les fragilités de notre condition humaine mais aussi et surtout pour examiner comment notre lecture de l’Evangile, éclairée par la personne de Jésus, peut nous conduire à repérer des lignes de conduite qui soient de nature à respecter la dignité de la personne, et particulièrement la dignité de la personne la plus vulnérable.

La bioéthique n’est pas l’affaire des seuls sachants. Chacun d’entre nous est en effet concerné en raison de notre interdépendance et donc de notre solidarité : c’est cette solidarité qui doit nourrir notre réflexion dans le souci de promouvoir le bien commun.

1.  La bio éthique ou l’éthique de la vie : un chemin de foi.
2. Fragilité du tout début de la vie : – l’embryon, – la grossesse pour autrui – génétique et médecine prédictive – le diagnostic prénatal.
3. Comment mieux accueillir le handicap aujourd’hui?
4. La fin de vie : respecter la vie, accepter la mort.